Dès Carole-Marie Allard, je suis attirée par le quartier Saint-Vincent-de-Paul et par le vieux pénitencier  qui a suscité sa curiosité.

Je n’ai pas ménagé les efforts pour amorcer un dialogue avec le Service Correctionnel du Canada et ce fut réussi. Le 9 février 2004, on annonçait la signature d’une entente entre la Société Immobilière du Canada et le Service Correctionnel du Canada pour une étude visant à définir une nouvelle vocation pour le vieux pénitencier. Le dossier va maintenant bon train. 

La santé est la priorité de tous les palliers de gouvernement.  Il existe un secteur qui suscite particulièrement l’intérêt des lavallois et c’est le domaine des soins palliatifs car les installations actuelles ne suffisent pas à la demande.

Depuis 2000, la Maison des soins Palliatifs, un organisme à but non lucratif a pour mission de doter le milieu lavallois d’une Maison qui accueillerait les malades en phase terminale et les membres de leur famille.  L'organisme en a déjà quatorze au Québec.

J'ai écouté a écouté et cherché un site pour l’implantation de cette maison. Le meilleur site que j'ai trouvé est justement dans le comté, le long de la Rivière-des-Prairies.  Il s’agit d’une propriété du Service Correctionnel du Canada et donc du Gouvernement du Canada et qui,  pour le moment, abrite deux bâtiments  vétustes.  Ils sont  situés au 5590 et 5682 boulevard Lévesque Est. Le défi : Convaincre le Service Correctionnel du Canada de mettre ces lieux enchanteurs  à la disposition de l’organisme à but non lucratif.

je connaît l’existence du Fonds canadien pour les infrastructures stratégiques.  qui  a été créé précisément pour aider le déblocage de projets importants.  Les objectifs du Fonds sont de  favoriser les échanges, accroître la mobilité et la sécurité des voyageurs.  La protection de l’environnement et de la couche d’ozone renforce l’importance de compléter ce lien essentiel pour l’économie de Laval et de la rive nord, car la circulation y est déjà présente, mais les véhicules doivent passer par d'autres chemins déjà très fréquentés, ce qui cause des bouchons nuisibles à l'environnement et à l'économie.

Faisons-lui confiance car elle livre la marchandise.

Le  critère du «revenu familial» dans la Loi sur l’impôt  sur le revenu du Canada et dans la Loi sur la sécurité de la vieillesse  pénalise les personnes vivant en couples et les prive du droit à l’allocation du Supplément de revenu garanti et  à celle du crédit d’impôt de TPS TVQ.

Les familles avec enfants sont aussi pénalisées puisqu’elle voient leur Prestation nationale pour enfants souvent amputée en raison de cette obligation d’additionner les revenus de la familles. 

Pourtant, bon nombre de personnes vivent dans des familles, sans rapport conjugal, et n’ont pas à additionner leurs revenus :  Prenons par exemple des adultes qui partagent le même appartement, des frères et des sœurs qui vivent encore avec leurs parents.

Pourquoi nos communautés italienne, libanaise, portugaise, grecque et espagnole  ne peuvent-elles pas regarder la télévision de leur pays d origine. 

Il faut sonner le glas du protectionnisme culturel observe par le CRTC.  Il est inacceptable que les citoyens d’origine italienne n’aient pas accès à RAI International,  que ceux d’origine espagnole n’aient pas à accès à Cine Latino, que ceux d’origine libanaise n’aient pas accès à LBC America, etc.

Le Canada est un pays ouvert sur le monde, nos gens brassent des affaires partout dans le monde, nous pouvons acheter  les journaux du monde entier au Canada et pourtant nos communautés culturelles sont forcés de vivre dans l’illégalité, en s’abonnant aux services de satellite américain,  si elles veulent regardent la télévision de leur pays d’origine.

Il faut mettre fin au piratage des signaux satellite.  Pour ce faire, il faut offrir davantage  d’émissions en langue étrangère de façon à ramener volontairement ceux qui s’abonnent ailleurs qu’au Canada.  je vous invite à vous renseigner sur la Coalation sur la Liberté de Choix dans la Télévision Sattellite, dont je suis fondatrice et porte-parole politique et qui regroupe de nombreux représentants de communautés culturelles. Cette cause me tient vraiment à coeur.   

Le sport c’est l’affaire de tous et de toutes.  Nos familles dépensent des sommes importantes pour la pratique des sports.   

Je crois qu'il faut une aide fiscale pour les familles qui ont enfants sportifs à la maison.  Je propose une réforme pour permettre à ces familles de pouvoir déduire de leurs revenus ce qu’il leur en coûte pour l’inscription de leurs enfants. 

Dans cet ordre de pensée, on pourrait même aller un peu plus loin  en aidant les familles qui n’ont pas les moyens d’inscrire leurs enfants.  Il serait envisageable que les frais soient déductibles par des tiers. Ainsi « les parrains et marraines»  qui accepteraient de payer pour les enfants démunis  pourraient aussi déduire leurs factures.